PNAS - Liens familiaux, gages d’adaptation ?

PNAS - Liens familiaux, gages d’adaptation ?

De nombreuses espèces animales vivent en meutes, couples, colonies… Pour autant, en regard d’espèces où les individus demeureraient isolés, s’il y a bien des avantages à de telles organisations sociales telles que la capture de proies ou la défense contre les prédateurs, elles présentent également des désavantages tels que faciliter la circulation de parasites et autres agents pathogènes. Afin de comprendre l’utilité ou les conséquences génétiques de ces « structures sociales », Bárbara Parreira, étudiante de thèse à l’Instituto Gulbenkian de Ciência et L. Chikhi (EDB / Instituto Gulbenkian de Ciência / LabEx TULIP / LIA BEEG-B) ont étudié l’influence de la structure sociale sur la variabilité génétique des individus et donc, sur le potentiel d’adaptation des populations.

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Article paru dans la revue PNAS le 30 juin 2015.

On some genetic consequences of social structure, mating systems, dispersal, and sampling - Doi 10.1073/pnas.1414463112 - Bárbara R. Parreira & Lounès Chikhi

Consultez le fait marquant complet, préparé par Gaël Estève, sur le site du LabEx Tulip >>>